Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.
Peinture, Montagnes, Suisse, Peintres russes, Ivan Shishkin (1831–1898), Forêts alpestres, Hêtres, Peintres de paysage
Bois de hêtres (Fagus sylvatica) en Suisse, 1863, par le peintre paysagiste russe Ivan Shishkin (1831–1898). C'est une essence bioindicatrice d'un climat tempéré humide. Les forestiers en pratiquent de longue date la sylviculture pour produire du bois de futaie principalement destiné à l'ameublement. Il est également utilisé comme source de bois de chauffage, surtout en zone de montagne.
Dessins et plans, Australie, Écosystèmes, Biogéographie, Climat -- Cartes, Cartes climatiques, Biogéographie végétale, Écozones, Zones biogéographiques
Cartes des zones de climat en Australie. Légende : équatorial, tropical, subtropical, tempéré ; prairie et savane, désert. Territoire du Nord, Quuesland, Australie occidentale et méridionale, Nouvelles Galles du Sud, Victoria, Territoire de la capitale australienne, île de Tasmanie. Huit écozones : 1) Forêt tropicale humide, 2) Forêts tempérées caducifoliées de la Tasmanie (à eucalyptus), 3) Prairies, savanes et brousses tropicales et subtropicales localisées sur les côtes Nord, 4) zones semi-arides : steppes herbacées, savanes et brousses tempérées, 5) Dans le sud et le sud-ouest, forêts, bois et broussailles méditerranéens (proches de la faune du Gondwana), 6) Déserts et broussailles xérophytes, 7) La toundra sur l'île Macquarie, 8) Prairie et broussaille de montagnes.
Carte climatique de la France : domaines provençal, montagnard, danubien, lorrain, parisien, flamand, breton, aquitain.
Zone tempérée chaude d'après Köppen ; vert clair : été sec ; vert foncé : pas de saison sèche. Les régions tropicales faisant partie de cette zone sont des régions montagneuses.
L.L. Ivanov et al., Antarctica : Carte des îles de Livingston et de Greenwich, échelle au 1:100000, dans les îles Shetland du Sud, au Nord de l'Antarctique. Montage photo présentant les spécificités des deux îles. L'île de Livingston est située dans l’Océan austral entre le passage de Drake et le détroit de Bransfield, à la distance de 110 km au nord-ouest de la Péninsule Antarctique et 830 km au sud-sud-est du cap Horn. Son sommet principal, la Montagne de Tangra, est situé au sud-est de l'île et culmine à 1700 m. La majeure partie de sa surface est recouverte d'une calotte de glace, qui forme la ligne côtière dans beaucoup de secteurs. Le climat est antarctique maritime. Les températures sont plutôt constantes : elles n'excèdent que rarement 3°C l'été et ne descendent que peu en dessous de –11°C pendant l'hiver. Toutefois, l'île est célèbre pour son mauvais temps, qui est hautement variable, venteux, humide et très peu ensoleillé. Livingston a été découvert par l'Anglais William Smith, le 19 février 1819, et pendant les années qui suivirent, l'île est devenue un centre d'exploitation de ressources vivantes marines. Il reste de cette époque des cabanes, des bateaux et d'autres objets façonnés par les chasseurs de phoques américains et anglais du XIXe siècle. Livingston possède la plus grande concentration de lieux historiques ou symboliques de l'Antarctique, après la Géorgie du Sud. L'île est régie par le régime du Traité sur l'Antarctique. Les bases scientifiques Juan Carlos I (Espagne) et Saint-Clément-d’Ohrid (Bulgarie) se trouvent dans la baie sud de Livingston depuis 1988, et la petite base de Cap Shirreff (Chili et É.-U.) est elle active depuis 1991. Il y a deux aires naturelles protégées sur l’île, la Péninsule Byers et le Cap Shirreff. Le Point Hannah sur le littoral sud de Livingston et l’île Half Moon, près de la côte est, sont des destinations parmi les plus populaires du tourisme antarctique et austral extrême, souvent visitées par des bateaux d’excursion.
Vue du Großvenediger et du glacier de Schlatenkees depuis le refuge de Alte Prager. Image obtenue en combinant 5 clichés. Massif du Hohe Tauern (Alpes du Tyrol autrichien) montrant les zones d'accumulation, de transport et d'ablation.
Extrémité du glacier Schlatenkees (près de Innergschlöß et de Alte Prager Hütte), en Autriche. Le domaine de plasticité de la glace étant particulièrement étendu, un glacier s'écoule lentement sous l'effet de la gravité le long d'une pente ou par fluage. (source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Glacier).
Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891 : Hêtre des bois (Fagus sylvatica). Il est l'une des principales essences constitutives des forêts tempérées caducifoliées d'Europe où on peut le trouver en peuplements exclusifs de hêtraies pures ou le plus souvent associé à d'autres espèces majeures dans des forêts feuillues, principalement avec le Chêne rouvre, ou dans des forêts mixtes avec le Sapin pectiné ou l'Épicéa commun. C'est une essence bioindicatrice d'un climat tempéré humide. Les forestiers en pratiquent de longue date la sylviculture pour produire du bois de futaie principalement destiné à l'ameublement. Il est également utilisé comme source de bois de chauffage, surtout en zone de montagne.
Le glacier du Rhône en mai 2005. Le même point de vue, en 1900 montre un très important retrait glaciaire : la position du front glaciaire s'est déplacée vers le haut de la vallée.
Statuette inuit en serpentine, 1997, par Markusie Papikatuk (Cape Dorset, Nunavut Territory, Canada) représentant deux têtes opposées de boeuf musqué. Le Bœuf musqué (Ovibos moschatus) est une espèce de caprinés recouverte d'une épaisse toison laineuse. Malgré son aspect de bovin (qui lui vaut son nom dans plusieurs langues), c'est en fait un capriné aberrant, proche des souches primitives (takins, tahrs, serows) de l'Asie tropicale et subtropicale et de la chèvre des montagnes rocheuses de l'Ouest américain, mais adapté au climat arctique.
Yak sauvage (Bos grunniens) à Letdar (Circuit de l'Annapurna au Népal). Le yak vit dans et autour de la chaine de l'Himalaya ; Népal et au Bhoutan, en Chine (Tibet, Xinjiang, Gansu, Mongolie intérieure), ainsi qu'en Mongolie, Russie, Kirghizstan, Kazakhstan, Pakistan, Tadjikistan, Afghanistan, jusqu'à des altitudes de 5 400 mètres. Les yaks vivent quinze ans en haute altitude au-dessus de 3 000 mètres. Le yak sauvage, uniquement présent au Tibet, est plus grand que le yak domestique, pouvant peser jusqu'à une tonne. Il vit habituellement en groupes de 10 à 30 individus. Son habitat est composé de hauts-plateaux dégarnis, de collines et de montagnes à des altitudes comprises entre 3 200 et 5 400 mètres. Il se nourrit d'herbes, de lichens et d'autres plantes. Durant la saison chaude, il vit dans les régions proches des neiges éternelles ; puis descend vers des terres au climat plus clément lorsque la saison froide approche. Le yak peut affronter le froid jusqu'à - 40 °C aussi bien grâce à son sous-poil très dense que par son long et épais pelage de surface. Par ailleurs, il secrète une substance visqueuse dans sa transpiration qui agit comme un isolant au froid. Cette substance est utilisée en médecine traditionnelle au Népal. Le yak sauvage a la vue très faible mais compense ce handicap par un odorat particulièrement développé et surtout une ouïe incroyable qui lui permet d'entendre à plusieurs kilomètres de distance. Le yak sauvage n'existe plus que dans les chaînes de montagnes du Kunlun, de Thangla et de Nyenchen Thangla, ainsi que sur le plateau du Tibet. L'espèce est menacée : la population totale actuelle est estimée à 15 000 animaux.